Véro, l’amour usé

La façon dont Véro faisait l’amour m’usait jusqu’à la rupture. Je lui travaillais le con avec fougue et passion, me laissant emporter par ses encouragements oraux ‘prends moi, défonce moi, je suis ta chienne et tout le dictionnaire du palpitant y passait. Son mari n’avait, selon ses dires, droit qu’à un silence virginal qui le faisait débander, je pensais souvent à lui en fouillant chaque recoin de sa femme.

Je donnais vraiment de ma personne, elle aussi, je ne pense plus être capable de ça aujourd’hui, à moins de tomber dans la chatte d’une femme cannibale. Elle semblait ne jamais fatiguer, me laissait la prendre comme je voulais et restait mouillée pendant des heures.

l’amour devenait alors un marathon qui se finissait toujours par une giclée salvatrice au fond d’elle et un tremblement violent doublé d’un sentiment de culpabilité. Ma queue restait gonflée et dure pendant longtemps, elle continuait de me sucer ou de m’attirer en elle, la douleur d’une érection trop longue prenait le dessus.

J’ai bien essayé la sodomie sans aucune tendresse, pensant que ça la calmerait, mais ce fut en vain. Usé d’un amour qui s’use, nous fîmes.

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