C’est sur son balcon de ville que ses fesses ont rougies la première fois. Elle demandait une fessée depuis longtemps. N’étant pas un maître ‘dominant’ expérimenté ni un maître tout court, j’ai lu quelques articles sur le sujet. Je l’ai donc fait attendre quelques semaines, la fessée tout comme le sexe s’appréciant bien mieux lorsque les esprits brûlants et les peaux suintantes n’en peuvent plus et crient famine.
J’ai enlevé mes chaussures, ôté mon sexe de sa bouche et je lui ai demandé de se mettre à quatres pattes, son cul dans la direction opposée à moi, afin de voir ses yeux qui vacillaient au rythme de mes paumes. je me suis assis sur une chaise et j’ai juste baissé son jean jusqu’au genoux et remonté son petit col v american apparel jaune canari des plus trendy.
C’est en exprimant aucun sentiment que j’ai plongé mon regard dans le sien alors que je claquais ses fesses. L’excitation est montée très vite, elle se tortillait et se mordillait les lèvres. Pour la corriger je lui ai mis le jouet en plastique dont elle se sert régulièrement entre les dents, comme un anti douleur, je cherchais une laisse mais les choses viendraient peu à peu, inutile de la satisfaire pleinement. Alors qu’elle fonçait tout droit vers un orgasme en mâchant son bout de latex je me suis levé et en quelques mouvements j’ai éjaculé sur ses fesses. C’était vraiment libérateur, je n’ai pas contrôlé les grossièretés qui sortaient de ma bouche. La composition était plutôt artistique, à mon goût. Je lui ai demandé de rester là pendant que j’allais me doucher, puis j’ai enfilé ma veste et je suis parti.
Depuis son petit balcon de ville avec trois pots aux racines mortes, elle me faisait des signes d’adieu, ou de remerciement, qui sait…
