Axelle me promène

J’ai adoré son sexe dès le premier coup de langue. J’aime les sexes refermés, bombés mais pas enflés, aux lèvres gonflées, mais pas trop. Il y a de belles chattes et des chattes difformes. Il y a de beaux vagins et des trous béants. Axelle a ce truc avec le cuir, mais elle le porte bien. Quand il fait froid elle me prend par la main, me promène dans un cimetière et s’empale sur moi, avec ce paysage morbide et poisseux, dans la brume et le gel, m’enfoncer en elle devient un délice. Tout mon corps se réchauffe, comme une injection qui te sors du coma. De la vie qui crépite au dessus des vers et des cadavres.

Je ne sens que ses seins contre mon torse et ce vide qui m’absorbe. Je claque ses fesses et ses joues blanches, elle me supplie souvent de la trainer à terre et de la salir.

Je l’ai croisé récemment avec son amoureux, qui ne voit jamais ses bottes ni ses gaines. Celui qui la voit toujours propre. Je suis sa saleté, sa crasse, une couche de vice qui l’embaume.

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